Les vacances sont finies, snirf. Faut reprendre le collier, et il n'est pas bardé de diamants çuilà. Bon faut se dire que c'est pour la bonne cause.
Vacances ? En Roumanie, plus précisément la Transylvanie.
Je vous conseille vivement, surtout pour nous les mecs. Doit y avoir un truc spécial là-bas. Pour simplifier, en-dessous de 35 ans, y'a pas de thons (enfin si, mais vraiment pas des masses). Au-dessus de 35 ans, on revient à des statistiques normales.
Je suppose que les euros doivent dégager une odeur particulière (des phéromones auxquelles les européennes de l'est sont plus sensibles ?), paske j'ai jamais eu l'impression d'etre aussi sexy. J'y allais cependant pour visiter la région, pas les autochtones. Vrai, dans culture il y a cul (et les lettres restantes sont un anagramme de tuer, vous en concluez ce que vous voulez). Mais j'avais pas pris de capotes. Résultat, quéquette. Enfin, non, justement, pas quéquette du tout.
Et au retour dans notre beau pays, abruti de chaleur, cinq jours au lit. Toujours pas quéquette, juste une invasion de microbes pénibles. Pas les neveux et nièces, seulement ceux qu'on soigne à coup d'antibiotiques (quoi qu'on pourrait soigner les neveux et nièces comme ça aussi, mais ça fait des histoires pénibles dans la famille après).
Après tout ça, retour chez moi. Et là, surprise. Mauvaise, forcément, personne ne s'intéresse au bonheur des autres, uniquement à leurs malheurs (on notera que bonheur est toujours au singulier, comme s'il n'y en avait qu'un seul, alors que malheur est souvent au pluriel).
La maison ravagée.
Pas par des cambrioleurs, nan. Par la pluie. La salope. Y'a eu un coup de vent, catégorie tempete, la nuit juste avant mon retour. Une partie du toit a bougé, suffisamment pour laisser entrer des trombes d'eau. Les volets n'ont servi à rien, la flotte est aussi passée par les fenetres (sous les fenetres, si vous voulez bien me croire).
Et j'ai une partie d'un plafond qui est tombée. Quand 5 kg de platre posé il y a près de deux siècles se font la valise, le pire est la poussière qu'ils retenaient. Y'en a partout.
Haha...
Quand je dis que tout le monde m'en veut. Jusqu'ici la météo m'avait épargné, elle s'y met à son tour.
Galère existentielle et accessoirement météorologique
mercredi 20 août 2003. Lien permanent Notes diverses et avariées
3 réactions
1 De [Inconnu] - 20/08/2003, 15:40
2 De [Inconnu] - 20/08/2003, 15:45
3 De [Inconnu] - 21/08/2003, 02:24