Dans le coin, il y a très peu de jardins : le mien (dont la surface fait que le terme "jardin" est un peu exagéré) et celui de la voisine (là où il y avait les poules; elles ont emménagé en des lieux plus sereins). Nous avons, de toute éternité, un gros problème avec la gent félidée d'autres habitants de la rue. Ces derniers (les autres voisins) doivent considérer que nos jardins constituent un service public pour les déjections animales.

A partir d'aujourd'hui, c'est la guerre. Pas de prisonniers, pas de pitié, tuez les tous et faites des morceaux assez petits pour que personne n'y reconnaisse rien. Première étape : la voisine est en train de mettre de la glu sur les murets par lesquels les chats passent. Si, si. Ca va pas être triste, les bestiaux collés. Après... on verra ce qu'on fera.