Hier, j'ai revu une amie que j'apprécie beaucoup. Cette personne a le malheur d'être, depuis des années, harcelée par un bas-de-plafond (qui est quand même pilote de ligne). Rien n'y fait, ni les explications directes, ni les mains-courantes auprès de la maréchaussée. Cette amie a récemment déménagé, pas pour fuir le harceleur, mais cela semblait être un effet secondaire intéressant : plus d'adresse où sonner, plus de numéro de téléphone à appeler la nuit...
Pas de chance, depuis 15 jours il semble que le harcèlement téléphonique recommence : appels en plein milieu de la nuit, personne au bout du fil et raccroché rapide.
"Qu'est-ce que tu vas faire ? lui ai-je demandé.
- J'en ai parlé à K. Il m'a dit qu'il ne peut rien faire de très officiel, mais qu'il va voir ce qu'il peut faire discrètement.
- K ? Celui qui...
- Oui, celui qui bosse à l'anti-terrorisme.
- Si ton harceleur reçoit une visite du GIGN à 6 heures du matin, ça devrait le calmer un moment."
2 réactions
1 De Vroumette - 30/10/2005, 23:44
Elle aurait tord de ne pas le tenter avec un "bas de plafond (je ne connaissais pas cette expression).
Ben, et toi alors, tu ne peux pas faire le molosse redoutable et prendre un air méchant ?
2 De Anne - 31/10/2005, 10:55
Enfin j'espère !