Je suis, c'est l'un de mes moindres défauts, particulièrement sensible aux odeurs. Pas toujours dans le mauvais sens, d'ailleurs. Il en est toutefois qui ont la capacité de me retourner l'estomac en quelques instants.

J'ai appris aujourd'hui que le chou-fleur pourri ayant mariné deux semaines dans son jus en fait partie. Je vous passe les détails de la composition dudit jus, à base de nombreux autres produits surgelés, de crainte de vous rendre malades. Je l'ai presque été, seule la présence de l'Héritier et mon légitime orgueil paternel (comme quoi c'est utile) m'a retenu.

Par contre, pas de repas ce soir. Même pas en rêve.

Bientôt, dans un autre registre, le compte-rendu des vacances. Ca devrait être bien plus sympathique.