CeT et moi-même finissons un bref séjour à Saint-Pétersbourg, où nous avons savouré les nuits blanches (il est minuit heure locale, et on y voit comme en plein jour), le caviar (miam), la vie culturelle (deux ballets et deux concerts en 5 jours) et les nombreuses beautés qu'offre la ville (musées et jolies femmes). Cela va me donner l'occasion de quelques billets, histoire d'insuffler un peu de vie dans ce blog moribond.

Je commencerai par du très classique.

Les femmes russes sont très belles. Ou, plus exactement, la densité de très belles femmes semble supérieure à la moyenne[1]. Il en est de très grandes (1.80 sans talons), d'autres de taille nettement plus réduite (1.50) mais la beauté slave n'est pas une légende[2].

Les conducteurs russes sont... différents. Je pense que l'inventeur des montagnes russes s'est inspiré d'un trajet qu'il a dû faire, conduit par un russe. Cela dit, pour les piétons, ce ne sont pas des sauvages si on respecte quelques règles simples :

  • le piéton est un obstacle qu'il convient d'ignorer, sauf
  • si le dit piéton est sur un passage pour piétons, sachant que
  • si le passage est protégé par un feu, et que le feu est vert pour les voitures, revenir au premier point
  • sinon, si le passage est protégé par un feu qui s'avère être rouge, ou si le passage n'est pas protégé par un feu, le piéton a priorité
  • mais (dans le cas du feu au rouge pour les voitures) malheur à celui qui sera encore sur le passage piétons quand le feu passera au vert.

Les boîtes à lettres sont bleues. Certaines poubelles aussi, et elles sont fixées au mur de la même façon qu'une boîte à lettres. Nous avons failli nous faire avoir.

La culture à Saint-Pétersbourg, ce n'est pas une légende. J'ignore le nombre de théâtres, mais on a l'impression qu'il y en a un dans chaque rue (théâtre, auditorium, salle de concert ou de ballet, etc.). Des affiches, un peu partout, vantent tel ou tel spectacle lyrique, chorégraphique ou classique.

Notes

[1] Ma CeT est évidemment encore au-dessus du lot, et je n'écris pas cela parce qu'elle lit par-dessus mon épaule.

[2] Je suis bien placé pour le savoir, j'en ai épousé une; oui, elle lit toujours par-dessus mon épaule.