La frontière est ténue entre dire ce que l'on pense et être mauvaise langue. D'autant plus que, le plus souvent, ce sont des tiers qui vont coller l'étiquette langue-de-pute sur le dos de quelqu'un.

Quand franchit-on cette limite intangible qui sépare l'avis tranché de la médisance ? Est-ce une question de fréquence ? D'avis divergent ou convergent de l'auditoire ?