La frontière est ténue entre dire ce que l'on pense
et être mauvaise langue
. D'autant plus que, le plus souvent, ce sont des tiers qui vont coller l'étiquette langue-de-pute
sur le dos de quelqu'un.
Quand franchit-on cette limite intangible qui sépare l'avis tranché de la médisance ? Est-ce une question de fréquence ? D'avis divergent ou convergent de l'auditoire ?
2 réactions
1 De Eulalie - 24/02/2014, 17:35
Je crois que c'est une question aussi de termes et de tons employés.
2 De Nuits de Chine - 26/02/2014, 19:27
Eulalie : il y a certainement de ça. Cela dépend aussi de la cible et de celui (ou ceux) qui nous écoutent.