Pour réparer des ans l'irréparable outrage, comme l'écrivait Jean Racine[1], ma CeT m'impose des crèmes diverses. J'ai réussi à obtenir qu'elles ne soient ni parfumées, ni colorées. Dans la bataille, j'ai aussi gagné qu'elles soient[2] sans parabène, sans additifs ni conservateurs, testées sans cruauté envers les animaux, et à un tarif[3] expliquant à lui seul la dette de notre beau pays.
J'ai savouré ma revanche lorsque, ma peau étant visiblement plus jeune et souple[4], ma Dame est passée, aux yeux de plusieurs personnes, pour une cougar promenant son jeunot.