Quelques farfadets peu portés sur l'humour, amenant avec eux une galaxie de problèmes à résoudre, m'ont empêché d'honorer mon rendez-vous quotidien avec les mots du 366. L'espoir d'une publication au moins hebdomadaire s'est enfui, et seule demeure l'ignorance dans laquelle je me trouve quant à l'allègement de ma charge de travail.
Enfiévré, comme un feu de kapok[1], je n'ai guère de latitude pour les semaines qui viennent. Comme l'impression d'être une marionnette dont quelqu'un tire les fils pour s'amuser. Cependant, il n'est pas dit que ma nature grognonne ne m'amène à la révolte. Je ne me sens pas dans le rôle d'une olive que l'on presse, pas plus d'ailleurs que celle du beau, mais inconstant, papillon.
Pas de quartier ! Sus aux dossiers ! Je m'en vais en faire de la ratatouille, de la chair à pâté, du vrai beau saucisson. Et je pourrai espérer reprendre mes notes.
Note
[1] Si, ça a même coulé le Normandie, comme quoi faut se méfier.