Il en est du bortsch comme du cassoulet dans notre contrée : chaque ville, chaque famille, chacun affirme connaître la seule véritable recette, les autres n'étant que de pâles imitations proches du ridicule.
Nonobstant ces guerres de clochers, et au risque d'en déclencher une nouvelle, je dois reconnaître que le bortsch cuisiné par ma CeT qui, de façon surprenante, ne contient pas de betteraves[1] est de loin le meilleur que je connaisse. Miam des saisons froides.
Note
[1] Je parle là du bortsch, pas de mon épouse.