Les Grands Humoristes de France Télécom m'ont appelé (le vendredi 2 janvier vers 15:30), toujours au sujet de cette absence de téléphonie illimitée pourtant dûment facturée depuis quelque temps. Comme il se doit, j'ai dû répéter toute l'histoire (il faudrait que je l'enregistre, ça me fera gagner du temps), et le gars à l'autre bout du fil n'a toujours pu qu'arriver à la même conclusion : "Hmmm oui on dirait qu'il y a un problème". Ils doivent me rappeler lundi 5 janvier, je pressents encore un grand moment de solitude technologique.
Ce qui m'oblige à monter d'un cran. La lettre précédente était destinée au directeur de l'agence gérant (d'après l'intitulé de ladite agence) le sud-ouest de notre beau pays. La présente lettre est destinée au PDG de France Télécom, selon l'adage disant qu'il vaut mieux s'adresser au Bon Dieu qu'à ses saints. Pour changer, j'ai fait simple et bref.